L’association Au Pied de la Lettre
Présente

A l’Ombre des Arbres
vendredi 10 et samedi 11 septembre à Sommières
dimanche 12 septembre à Parignargues

Gratuit et Ouvert à tou.te.s

Il est nécessaire de s’inscrire pour les ateliers d’écriture (12 personnes maximum) au 06 10 29 82 43 ou, pour ceux ayant lieu à la médiathèque de Sommière, également au 04 66 71 50 65
Toutes les infos sont sur le site : http://www.aupieddelalettre.org/

PROGRAMME :

Vendredi 10 septembre > Médiathèque de Sommières *

– 9h30 : Accueil salle Alexandrie
– de 10h à 12h30 :
> Atelier d’écriture poétique avec Pierre Antoine Villemaine, 
ouvert à tous
Inscription nécessaire pour l’atelier au 04 66 71 50 65 ou 06 10 29 82 43
par mail : aupieddelalettre.gard@orange.fr
– de 14h15 à 16h :
> Entretien lecture avec Pierre Antoine Villemaine autour de la notion de désir en littérature.

Samedi 11 septembre > Médiathèque de Sommières

– 9h30 : Accueil salle Alexandrie
– de 10h à 12h30 :
> Atelier d’écriture avec Juliette Mézenc,
 ouvert à tous
Inscription nécessaire pour l’atelier au 04 66 71 50 65 ou 06 10 29 82 43
par mail : aupieddelalettre.gard@orange.fr
– de 14h15 à 16h :
> Entretien lecture avec Juliette Mézenc au sujet de l’écriture numérique

Dimanche 12 septembre > Parignargues

– 9h30 : Accueil au foyer communal
– de 10h à 12h30 [Foyer et mairie] :
> Trois ateliers d’écriture ouverts à tous avec :
Thierry Renard, Fabienne Swiatly, Arnaud Savoye
Inscription nécessaire pour l’atelier de votre choix au 06 10 29 82 43
– de 12h30 à 14h [place du Foyer] : Repas tiré du sac
– de 14h à 16h :
> Entretiens lectures avec les invités du matin
 avec Arnaud Savoye puis Fabienne Swiatly autour des enjeux de leur écriture; avec Thierry Renard au sujet de la pratique de la revue littéraire (ses choix, ses enjeux, ses contenus)

Les entretiens avec les auteur.e.s seront menés par Jean-Paul Michallet, écrivain et animateur d’ateliers d’écriture.

* Programme initié dans le cadre de « Les plaisirs et les jours », initialement prévu au printemps et reporté ici en raison des conditions sanitaires d’alors.